Le Perroquet des Batignolles et Chico & Rita en BD (un plaisir d’été parmi d’autres), une mini langue de belle-mère (sansevière, pour les puristes, mais une variété vraiment toute petite) chez ma fleuriste favorite, près de la rue des Trois-Ecritoires où j’habitais jadis, et hop, je passe aux Halles faire mon stock de café moulu avant la fermeture aoûtienne de La Cafetière. Forcément, c’est juste à côté, alors je passe acheter des entremets chez Beillevaire, l’affineur de Machecoul que je fréquente depuis ma prime jeunesse (une autre faiblesse, qui n’est pas qu’estivale, malheureusement pour mes capitons…). Et là, le beau jeune homme à béret m’apprend qu’ils ont ouvert une boutique à Londres, à côté de chez Harrods. « Non, c’est Harrods qui a ouvert une boutique à côté de chez Beillevaire », rétorque son collègue, visiblement malicieux. En attendant, jusqu’où ira l’empire de Pascal Beillevaire ?
En repartant vers mes pénates, je vois une affiche en vitrine, rue Nationale : « SOLDES FLOTTANTES, prolongation jusqu’au 2 août ». Pourtant, je n’étais pas devant Petit Bateau. J’ai passé mon chemin, mes cabas pleins à la main. Je ne crains pas le mal de mer, mais quand même. Trop de rabais, ça me fait tanguer.
Ce matin, j’fais mon p’tit tour à Tours, je m’offre En repartant vers mes pénates, je vois une affiche en vitrine, rue Nationale : « SOLDES FLOTTANTES, prolongation jusqu’au 2 août ». Pourtant, je n’étais pas devant Petit Bateau. J’ai passé mon chemin, mes cabas pleins à la main. Je ne crains pas le mal de mer, mais quand même. Trop de rabais, ça me fait tanguer.